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L’École Documentaire bénéficie du soutien du plan France 2030 – La grande fabrique de l’image et est accompagnée par le CNC
Comment passer d’une idée de film à une écriture qui raconte et donne à voir le film à venir ? Comment développer son intuition, identifier ses intentions ?
Cette formation, héritière de la résidence d’écriture créée en 1997, propose à des auteur·ices de projets de film documentaire de partager cette étape essentielle de questionnement et de pensée de leur film avec d’autres auteur·rices engagé·es dans le même processus. Elle est caractérisée par un accompagnement personnalisé particulièrement intense qui alterne temps collectifs et entretiens individuels, sessions d’écriture, visionnages quotidiens de films en salle de cinéma, expériences de réalisation, repérages et échanges avec des lecteur·rices extérieur·es. Elle permet aux participant·es de clarifier leurs intentions, de délimiter le périmètre de leur film et de poser les bases d’un premier dossier de film.
L’encadrement est assuré par 5 à 6 auteur·rice-réalisateur·rices et producteur·rices.
• 1ère période : 27 octobre au 14 novembre (Lussas)
• 2nd période : 17 au 28 novembre (lieux de repérage)
• 3ème période : 1er au 19 décembre (Lussas)
• 1ère période : date à venir (Lussas)
• 2nd période : date à venir (lieux de repérage)
• 3ème période : date à venir (Lussas)
La formation doit permettre aux stagiaires d’apprendre à :
Première période (3 semaines – Lussas)
• Travail de réflexion collective coordonné par le/la formateur·rice :
– analyse approfondie de chaque projet
– visionnages analyses collectifs (dont réalisations antérieures des stagiaires)
– visionnage de films appartenant au patrimoine cinématographique documentaire
• Travail personnel de documentation : lecture et visionnage de films liés au thème et enjeux formels du projet
• Entretiens individuels avec le formateur·rice : autour des enjeux du projet, de ses pistes formelles, de sa dramaturgie, temporalité, etc. Examen des différentes options possibles avant repérages
• Exercices pratiques (filmiques, photographiques, sonores) suivis d’une analyse collective des travaux.
• Réalisation d’un petit objet filmique à partir de l’analyse des intentions du projet.
Deuxième période (2 semaines – lieux de repérages)
• Repérages (lieux, personnages, situations, etc.) sur le terrain et, si nécessaire, repérages d’archives.
• Collecte de matériaux et élaboration d’un journal de repérages
S’il n’est pas possible ou pas adapté pour le·la stagiaire de se rendre sur son terrain de repérages lors de cette période, l’exercice sera ajusté.
Troisième période (3 semaines – Lussas)
• Analyse collective et individuelle des projets retravaillés après repérages.
• Entretiens individuels par deux intervenant·es (lecteurs·rices) et reprise de l’écriture
• Élaboration d’une nouvelle version du projet.
• Intervention en fin de stage d’un·e producteur·rice sur la question des contrats, des aides à l’écriture et à la production, du lien entre l’auteur·rice et le producteur·rice, des pistes de production pour chaque projet.
Chacune des périodes à Lussas est rythmée par des visionnages collectifs quotidiens de films appartenant au patrimoine cinématographique documentaire.
>> Besoin de plus d’informations, n’hésitez pas à demander le plan de formation à n.billet@ardecheimages.org
Lieu de formation : L’imaginaïre, 300 Route de Mirabel 07170 LUSSAS
Récurrence de la formation : 2 sessions par an au printemps et à l’automne
Nombre de participant·e·s : 6 par session
Type de formation : présentiel
Nombre d’heures de formation : 210 heures soit 30 jours
Horaires : 9h30 – 17h30 (pause déjeuner de 13h à 14h)
Les journées de formation sont régulièrement suivies de visionnages de films en début de soirée.
L’École documentaire se situe en Ardèche et offre un cadre exceptionnel pour suivre les formations. L’équipe accompagne les stagiaires sur les questions logistiques et facilite leur prise en charge via les démarches de financements.
– Transport :
– Logement : Lussas est un petit village de 1200 habitant·es avec de nombreuses possibilités de logement. Nous préréservons plusieurs logements pour la durée de la formation avec une chambre par stagiaire et des espaces partagés. Des précisions sur ces propositions de logements vous sont communiquées au moment de la sélection et une liste des gîtes dans le village peut également être proposée aux futurs stagiaires pour organiser leur venue.
– Restauration : Durant la formation, l’École Documentaire organise les repas du midi qui réunissent les stagiaires et les intervenant·es. Ces repas sont ensuite refacturés à chacun·e des stagiaires et peuvent faire partie des frais pris en charge par les organismes de financement. Vous suivez un régime particulier ? N’hésitez pas à nous en informer, nous ferons le nécessaire. En plus de l’épicerie du village, des commerces dans les villages environnants permettent de faire des courses.
Les locaux sont situés dans un bâtiment ERP, accessibles aux personnes à mobilité réduite. Les formations peuvent être adaptées en fonction des besoins.
N’hésitez pas à prendre contact avec l’équipe pour préciser vos besoins et nous mettrons en œuvre toutes les solutions et aménagements nécessaires aux bonnes conditions de suivi de la formation.
Pour plus d’informations, téléchargez ce PDF.
Travail individuel et collectif.
Définir et approfondir les enjeux formels et narratifs propres au documentaire de création. Aborder les questions de mise en forme rédactionnelle en relation avec les attentes spécifiques du milieu professionnel (institutionnel, télévisuel, sociétés d’auteurs, etc).
L’encadrement est assuré par 5 à 6 auteur·rice-réalisateur·rices et producteur·rices.
Accompagnement à l’écriture : Vladimir Léon, Damien Monnier, Isabelle Rèbre, Marie Dault, Sonia Ben Slama, Régis Sauder, Pierre Tonachella, Xavier Christiaens, Jacques Deschamps, Pierre Hanau etc.
Intervention autour de la production : Rebecca Houzel (Petit à petit), -), Anne-Catherine Witt (Macalube Films), Eugénie Michel-Villette (Les films du Bilboquet), Sébastien Téot (Cellulo prod), Thaïs Pizzuti Ould Mohand (Corpus Films & Les Films du temps scellé), Charlotte Grosse ( Ursa Major), Alice Marsal (Les Films de la pépinière), Arnaud de Mezamat (Abacaris Films) etc.
Les fins de journée de formation sont rythmées par des visionnages collectifs quotidiens de films appartenant au patrimoine cinématographique documentaire sur proposition des intervenant·es ou des stagiaires dans la salle de cinéma de Lussas.
Ces projections sont généralement suivies d’une analyse pour apprendre à questionner les enjeux et les partis pris de cinéastes contemporains ou patrimoniaux et d’un échange entre stagiaires et intervenant·es.
Les stagiaires bénéficient de filmographies individualisées en relation avec leur projet et actualisées tout au long de la formation par le centre de ressources d’Ardèche Images (La Maison du doc).
Contrôle continu selon ces critères :
Une attestation de fin de stage ainsi qu’une validation des acquis seront délivrées à l’issue de la formation.
La sélection des candidat·es se fait sur lecture des dossiers par un comité de sélection composé des intervenant·es et de membres de l’équipe de l’École documentaire.
Les dossiers pouvant être retenus doivent refléter le point de vue de leur auteur·rice et relever du documentaire de création.
Le dossier de candidature doit être complet.
Un entretien téléphonique peut être proposé en complément du dépôt de candidature.
Il doit comprendre les éléments suivants, dans l’ordre indiqué ci-dessous :
1 – la fiche d’inscription dûment complétée (à télécharger ici)
2 – Une page de garde indiquant le titre et le nom de l’auteur·rice
3 – Une lettre de motivation
4 – un résumé du projet de film (10 lignes)
5 – Une note d’intention (2 à 3 pages) : la note d’intention décrit à la fois le désir de film, ses enjeux et ce qui va le rendre possible. Elle développe le point de vue du réalisateur·rice en donnant des éléments sur sa démarche (qui ? où ? quand ? comment ?)
6 – Une note de réalisation (1 à 2 pages) : Elle comporte des éléments sur les partis pris ou à ce stade, les manières de faire, possibles concernant par exemple, la place du sonore, la nature des images, l’utilisation d’archives, mais aussi le type de narration le recours éventuel à l’entretien, la voix off ,etc).
A ce stade, le projet doit évidemment comporter les questions que l’auteur·rice se pose face à son futur film.
7 – Un synopsis développé (6 pages maximum) : il donne à « voir» le film à cette étape avec des éléments de lieux, de protagonistes de temporalité, organisés ou on dans une continuité narrative (en évitant le vocabulaire technique). Cette partie doit intégrer des images (de 1 à 4 maximum)
8 – Le curriculum vitæ détaillé de l’auteur.rice-réalisateur.rice
Pièces annexes :
– Le cas échéant, une brève présentation de la société de production
– Tout élément complémentaire jugé pertinent par le candidat·e
– Dans le cas d’une précédente réalisation ou d’éléments filmés liés au projet, merci de joindre impérativement les liens pour visionnement. Si votre dossier comporte plusieurs liens viméo ou autre, merci de les rassembler dans un même document en fin de dossier.
>> Le dossier doit être envoyé en PDF (avant la date limite) : en version électronique nommé selon le modèle « Prénom Nom » à l’adresse : candidature@ardecheimages.org
Objet du mail : Candidature – Formation à l’écriture documentaire
Un mail d’accusé réception vous sera envoyé au moment du traitement de votre dossier.
Coût pédagogique (sessions 2025) : 5 960€
Coût horaire : 28,40€/h
Le coût pédagogique recouvre l’encadrement pédagogique, l’accès à la documentation (films, revues, ouvrages spécialisés…) et les moyens techniques.
Frais annexes : Au-delà des frais de transport pour venir à Lussas, des frais d’hébergement et de repas sont à prévoir à la charge du stagiaire. La plupart des organismes de financements proposent des prises en charge de ces frais.
Il est important d’initier les démarches pour la prise en charge de la formation en amont du dépôt de candidature. Celles-ci prennent souvent du temps. Il n’est pas nécessaire d’avoir un financement confirmé pour déposer votre candidature.
Une fois sélectionné·es, il est nécessaire que les stagiaires soient en mesure de confirmer rapidement leur participation à la formation.
En plus des frais pédagogiques, les frais annexes (hébergement, transport…) peuvent être prise en charge, selon les organismes. Il faut en faire la demande en amont du début de la formation. Ces frais sont estimés sur le devis de la formation.
>> Première étape : Nous contacter
Pour initier les démarches ensemble et obtenir un devis et un plan de formation, n’hésitez pas à contacter directement Noémie Billet, chargée des formations professionnelles.
>> Seconde étape : identifier l’organisme qui pourra vous accompagner
AFDAS : Cette formation peut être financée par cette structure pour les intermittent·es, les salarié·es permanent·es (des entreprises de la culture, de la communication et des loisirs) et les auteur·rices. Vous devez contacter votre délégation de l’AFDAS afin de vérifier si vous avez des droits ouverts, puis en cas de sélection effectuer votre demande de prise en charge. La démarche est à faire en ligne sur la plateforme de l’AFDAS.
France Travail/Pôle Emploi : Cette formation peut être prise en charge pour les demandeurs et demandeuses d’emploi en déposant un devis AIF. Il vous suffit de nous envoyer votre demande avec votre numéro France Travail (11 chiffres) afin que nous puissions le déposer en ligne. Et en parallèle, vous devez prendre rendez-vous avec votre conseiller·ière, pour lui présenter votre besoin/envie de formation.
AGEFICE : Cette formation peut être prise en charge pour les auto-entrepreneur·euses via cet organisme, en nous renvoyant la demande de prise en charge préremplie. Il existe d’autres opérateurs de compétences pour les auto-entreprises, vérifiez celui qui vous concerne via ce site.
Selon votre situation d’autres possibilités de financement existent en particulier auprès d’organismes paritaires financeurs de la formation (Uniformation, Opcalia, Atlas…), d’Audiens, des collectivités territoriales (Conseil régional, Conseil départemental, Commune), de Plans locaux pour l’insertion et l’emploi (PLIE) ou encore les missions locales. Renseignez-vous en fonction de votre statut.
>> Troisième étape : nous tenir au courant de vos démarches
Et revenir vers vous si vous avez des questions.
Vous pouvez contacter par mail Noémie Billet, chargée de la formation, pour recevoir un devis et le plan de formation.
Noémie Billet – chargée des formations professionnelles
04 75 94 05 33 | n.billet@ardecheimages.org
Dans les mois suivant leur formation, les stagiaires et étudiant·es peuvent candidater à des rencontres professionnelles organisées par Ardèche Images pour favoriser la mise en production de leurs films et leur entrée dans le milieu professionnel.
Les Rencontres Premiers Films permettent à des jeunes auteur·ices de présenter leur projet à une vingtaine de professionnel·les de la production et de la diffusion. Organisées chaque année au mois d’octobre à Lussas, elles sont précédées d’une résidence de perfectionnement dédiée à la consolidation de l’écriture des projets, à la préparation des présentations orales et à la sensibilisation aux enjeux de la production. Les Rencontres Premiers Films sont ouvertes aux ancien·nes étudiant·es et stagiaires de l’École documentaires ainsi qu’aux lauréat·es de la bourse de perfectionnement à l’écriture de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et du CNC.
5 jours de résidence, 3 jours de préparation à l’oral et 3 jours de rencontres
Les Rencontres d’Août s’adressent à des tandems producteur·ice/auteur·ice en recherche d’expertise et de financement autour d’un projet de film documentaire de création. Organisées à huit-clos pendant les États Généraux du Film Documentaire de Lussas, elles permettent aux tandems de bénéficier d’échanges approfondis sur leurs projets avec des représentant·es institutionnel·les, des professionnel·les de la distribution et des responsables des chaînes TV.
Les Rencontres d’Août sont ouvertes à toute société de production et font l’objet d’un appel à projets annuel.
21h sur 3 jours
Chiffres et témoignages récoltés dans le cadre d’un questionnaire proposé aux stagiaires ayant suivi la formation entre 2018 et 2024. Sur 85 personnes concernées, 39 ont répondu au questionnaire soit 45%.
La résidence d’écriture documentaire a réuni six individualités qui relèvent de formation universitaire et de parcours professionnels variés. Qui surtout viennent des quatre (plutôt des 6) coins d’un horizon mental sans mot de passe et sont donc arrivés avec des projets de films documentaires très singuliers. Mais complot lussassois du hasard ou cause cachée, assez vite et de plus en plus solidement à mesures des étapes du travail, un vrai groupe s’est constitué ne laissant personne à la traîne, chacun existant avec les autres et porté par les autres avec ce ménagement nécessaire, adroit et attentif de chacun envers chacun, pour ce qui ne découle que de son expérience propre et de son alchimie propre.
Marianne Fricheau, printemps 2010
Des exercices quotidiens d’écriture et dans le même temps, une expérience collective ou bien individuelle de projections, puis de description de séquences ou de films documentaires (ce que je vois, ce que j’entends, ce que j’interprète). L’analyse de la matière du récit filmique et de son économie, l’appréhension de sa documentation, enfin l’apprentissage en commun de la prise en main des outils de l’image, du son, du montage, la pratique du matériel technique, ont amené les apprentis-chercheurs, dans la voie et dans le style qui leur sont absolument propres, à trouver réponse à cette question : à quoi peut-on croire ? Qu’est-ce qui est vrai ? Autrement dit : comment faire que par la mise en scène de la réalité que j’ai à filmer au moment où je la filme, tout semble se dérouler de la manière la plus plausible du monde en même temps que cette vie filmée de tous les jours sache composer, afin que tout se réponde et prenne valeur de signes ? Ou encore : ne plus discerner l’imaginaire discret du vécu. C’est évidemment sinon le problème du moins la question du documentaire.
Marianne Fricheau, printemps 2010
Lente transmutation du sujet : rejeter, modifier, modeler, revenir… Il y a sûrement un mauvais dieu qui contraint chacun d’entre nous à ne pas oublier ce faux dieu, celui qui nous fait éprouver l’idée d’un sujet initial et préalable à traiter. En même temps « ce besoin » d’une illusion de permanence » crée à son tour un besoin réel de structure et de forme… et dès lors, après l’exercice du croquis filmé, les sujets que nous convoquons ne sont plus des opinions, des sentiments, des prétextes, etc. mais des images promptes à vivre. Et dès lors (à nouveau) elles affluent : pourtant elles ne sont pas encore vraies. Les vraies viennent après : les vraies, ce sont celles qui arrivent au moment où l’on peut se dire à la fois « si peu de choses ont changé que tout redeviendra comme avant » mais aussi « comme le temps a passé, elles ne redeviendront jamais comme avant, après qu’elles ont changé ». Et ces « images-là » que nous avons cherchées, tout à coup se fondent si intimement dans l’essence du récit à mener, qu’elles nous indiquent : c’est maintenant le moment d’écrire.
Marianne Fricheau, printemps 2010
Lente transmutation du sujet : rejeter, modifier, modeler, revenir… Il y a sûrement un mauvais dieu qui contraint chacun d’entre nous à ne pas oublier ce faux dieu, celui qui nous fait éprouver l’idée d’un sujet initial et préalable à traiter. En même temps « ce besoin » d’une illusion de permanence » crée à son tour un besoin réel de structure et de forme… et dès lors, après l’exercice du croquis filmé, les sujets que nous convoquons ne sont plus des opinions, des sentiments, des prétextes, etc. mais des images promptes à vivre. Et dès lors (à nouveau) elles affluent : pourtant elles ne sont pas encore vraies. Les vraies viennent après : les vraies, ce sont celles qui arrivent au moment où l’on peut se dire à la fois « si peu de choses ont changé que tout redeviendra comme avant » mais aussi « comme le temps a passé, elles ne redeviendront jamais comme avant, après qu’elles ont changé ». Et ces « images-là » que nous avons cherchées, tout à coup se fondent si intimement dans l’essence du récit à mener, qu’elles nous indiquent : c’est maintenant le moment d’écrire.
Marianne Fricheau, printemps 2010
Ardèche images
L’Imaginaire · 300 route de Mirabel
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